« Ce marché de la scénarisation de l’intime prouve que le phénomène des fake news a déjà basculé au stade supérieur : celui de la fake life. »

« Cela traduit un problème propre à notre époque, se faire passer pour ce qu’on n’est pas afin d’exister aux yeux des autres. C’est d’une tristesse infinie. Le vrai souci, c’est que des gens y croient ! Le public de ces influenceurs se fait escroquer, puis les marques et les agences qui y participent activement en sachant que c’est tout sauf honnête… »

Lire l’article original de Mélanie Mendelewitsch pour le Nouvel Observateur.