? « C’est faux, alors pourquoi tu partages? »
➡️ Parce que la fiabilité n’est pas toujours la valeur première dans la circulation de l’information!

1. Désinformation ou erreurs de bonne foi ? (autrement dit : « fake news » ou mésinformation?)
2. « C’est peut-être faux, mais c’est marrant »
3. « C’est peut-être faux, mais ça peut toujours servir / mieux vaut prévenir »
4. « C’est peut-être faux, mais ça aurait pu être vrai / ça sert notre vision du monde »
5. « C’est peut-être faux, mais c’est un bon sujet de conversation (dans mes sphères) / c’est un marqueur social »

« En conclusion, ces éléments montrent qu’au-delà de la question de la fiabilité des contenus en tant que tels, il est intéressant d’interroger notre rapport social et affectif à ces contenus : pourquoi y adhérons-nous? Pourquoi les partageons-nous? Quelles sont les préoccupations derrière les messages relayés? »

Une analyse originale de Julien Lecomte pour Philomedia.be à retrouver ici