Extrait de l’article original de Robin Panfili pour Slate.fr :

L’enquête est donc arrivée à la conclusion que, sur Facebook, la confiance accordée à une information partagée dépend davantage de l’«ami» qui la partage que la source de l’information –le site internet– elle-même. Et ce, «peu importe que l’article provienne d’un média réel ou d’un site inventé de toute pièce», écrivent les auteurs de l’étude. En cause, la nature même de Facebook.

Article original de Robin Panfili à lire sur le site de Slate.fr