Propagande et désinformation, un couple plus gagnant que jamais avec les réseaux sociaux.

Extrait de l’article original du Monde :

Tout au long de cette campagne pour la Maison Blanche, Donald Trump a bénéficié d’une armée d’internautes particulièrement actifs et virulents – parfois surnommée la « Trump’s Troll Army » – sur les plates-formes les plus populaires du Web. Une mobilisation très forte, qui a parfois surpris par son ampleur. (…) Les internautes pro-Trump ne se sont pas limités à envahir le Web de messages en faveur de leur candidat : ils se sont aussi montrés très imaginatifs pour mettre des bâtons dans les roues d’Hillary Clinton. A commencer par le partage massif de fausses informations, et ce jusqu’au jour J. (…) Certains internautes sont même allés plus loin, revendiquant des actes de piratage informatique visant le camp Clinton. (…) Donald Trump a aussi pu tirer profit des « bots », ces programmes informatiques qui publient automatiquement des messages sur les réseaux sociaux. Selon une étude publiée la veille du scrutin par deux chercheurs de l’université de Californie du Sud, près d’un tweet sur cinq consacré à cette élection serait issu de bots. Ils évaluent le nombre de ces faux comptes automatiques à 400 000.

Lien vers l’article original du Monde