Un des ressorts des discours complotistes est la déferlante d’arguments, qui a pour effet d’instiller le doute : il doit bien y avoir quelque chose de vrai là-dedans!
Gerald Bronner parle de « mille-feuille argumentatif » : l’ensemble donne une impression de consistance, mais quand on analyse la validité des arguments un par un, ils s’avèrent fragiles et ne tiennent pas la route.