A Bruxelles, des jeunes filles mineures sont exploitées sexuellement par d’anciennes prostituées, nigérianes elles aussi, devenues proxénètes. Elles ont une dette entre 40 et 70.000€, contractée lors de leur venue en Belgique.

Le rapport avec cette page?
-> Elles s’engagent parce qu’elles tombent dans le piège de la manipulation en croyant aux fausses promesses d’un avenir meilleur en Europe : on leur promet des études et un emploi (du type garde d’enfants), engagement qui bien évidemment ne sera pas respecté ;
-> Avant de venir, elles passent un rituel vaudou, qui font qu’elles se sentent responsables : elles croient tenir entre leurs mains la vie et la mort de leur mère, de leur petit frère ou de la leur propre si elles ne remboursent pas la dette.
Et une fois la dette remboursée, des années plus tard, elles deviennent souvent elles-mêmes proxénètes, tellement l’emprise est forte : c’est un cercle vicieux.

A quand une légalisation et un encadrement par l’état du plus vieux métier du monde?

Lien vers l’article original de la RTBF (auteur non crédité)