La peur et la haine, deux émotions à faire naître pour avoir une « Une » qui soit à la fois attrape-clics et « engageante », afin d’augmenter les commentaires et les partages sur les réseaux sociaux ( = plus de visibilité et plus de revenus grâce à la pub et à la collecte de données personnelles).

Ou comment le populisme (en journalisme et en politique), qui flatte les bas instincts, a une grande part de responsabilité dans la déconstruction de l’esprit d’entraide et dans l’augmentation de la haine de « l’autre », avec les conséquences concrètes qui en découlent. Au lieu de penser solidarité, on ne pense plus qu’à la sauvegarde du bien-être de son petit monde à soi. Sauf qu’à moyen et long terme, l’un de ne va pas sans l’autre.

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