Nos croyances sont comme des lunettes, des prismes déformants : on finit par plaquer notre grille d’analyse prête à l’emploi sur le réel, en forçant la concordance si nécessaire. Au lieu d’analyser les nouvelles informations en se basant uniquement sur les faits, notre biais de confirmation force notre interprétation pour que ça corresponde à l’idée qu’on en a déjà, à ce qu’on a décidé de ce qui était. C’est facile et rapide, puisque ça fait l’économie du travail d’analyse, mais ça peut nous amener à des conclusions erronées.

Dans notre quête de la vérité, nous sommes souvent notre premier ennemi!

Un montage d’Un odieux connard à retrouver en ligne ici.